Le futur
de l’économie
est bio.

Les domaines d’applications du Cell-Free

La bioéconomie propose d’utiliser les connaissances en biologie et les biomasses renouvelables afin de relever les grands défis contemporains que sont : la réduction de notre dépendance vis-à-vis des énergies fossiles, la lutte contre les changements climatiques, la sécurité alimentaire, la production de nouvelles molécules pharmaceutiques innovantes. La bioéconomie englobe donc l’ensemble des activités de production et de transformation de la biomasse qui peut être d’origine agricole, forestière, marine ou des biodéchets afin de produire des bioénergies, des aliments, des matériaux biosourcés et des biomolécules.

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Biocarburants, Bois, Énergie, Méthanisation

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Alimentation

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Matériaux biosourcés

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Biomolécules

Parmi les bioénergies mises en jeu par la bioéconomie, on retrouve les biocarburants avec par exemple le Superéthanol E85 qui contient entre 65 et 85% de bioéthanol produit à partir de betteraves ou de céréales, la production de gaz et d’électricité par la méthanisation de biodéchets (alimentaires ou agricoles notamment), ou simplement l’utilisation de bois énergie pour le chauffage.

Bien qu’il existe plus de 6 000 espèces de plantes cultivées à des fins alimentaires dans le monde, les 2/3 de notre production alimentaire actuelle sont issus de seulement 9 cultures. L’augmentation de la diversité des cultures est ainsi un aspect important de la bioéconomie afin d’assurer une sécurité alimentaire, en permettant d’une part, une plus grande diversité en apports nutritionnels et d’autre part, une meilleure résistance face aux aléas climatiques, aux insectes ravageurs et aux pathogènes. De plus, l’utilisation de composts issus de biodéchets permet d’améliorer les rendements agricoles en remplacement des engrais chimiques.

La production de matériaux biosourcés concerne un grand-nombre de secteurs parmi lesquels on retrouve :
. la construction avec l’utilisation de fibres végétales telles que le chanvre ou de déchets textiles pour l’isolation,

. les emballages avec l’utilisation d’une enzyme capable de dépolymériser par voie biologique des déchets plastiques de type PET afin de produire de nouvelles bouteilles,
. les vêtements en lin et en chanvre,
. les jouets en bois ou en bioplastique produit à partir de maïs,
. les pièces automobiles telles que des tableaux de bord ou des panneaux de portes en thermoplastiques à base de fibres végétales…

 

Et enfin, parmi les biomolécules on retrouve :
. des produits cosmétiques contenant notamment des huiles naturelles, des algues, des minéraux… ,
. des détergents et peintures d’origine végétale, notamment de résines,
. des produits pharmaceutiques synthétisés grâce à des micro-organismes.

 

Cette économie verte entraine une amélioration du bien être humain et de l’équité sociale tout en réduisant les risques environnementaux et la pénurie des ressources.

En savoir plus

Nations Unies

Cinq raisons qui démontrent l’intérêt d’une bioéconomie mondiale durable et circulaire (FAO)

MéthaFrance

Comprendre le fonctionnement de la méthanisation

Ministère de l'Agriculture

Qu'est-ce que la bioéconomie ?

INRAE

Développement d’une nouvelle enzyme pour recycler les déchets plastiques PET en de nouvelles bouteilles

Rapport Études économiques (pdf)

Recensement des produits biosourcés disponibles

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